Roerich s'est senti offensé et Diaghilev était, lui, content: le scandale, c'est mieux que l'indifférence.
«Une vraie victoire! Qu'ils sifflent et se déchaînent! Ils sentent déjà que c'est précieux, ils sifflent, mais ce n'est qu'un masque. On verra la suite»,
disait-il.