Il a usé de ses contacts d'affaires noués en Argentine pour intégrer l'élite politique syrienne. Cohen a avant tout maintenu des contacts avec Amin al-Hafez, qui considérait que «le Syrien argentin Kamel Taabat» était un homme éduqué, patriote, boute-en-train et homme d'affaires à succès qui était prêt à investir son argent, conclure des contrats, prêter de l'argent et, si besoin est, donner un conseil.